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    Pensée du jour:

    Les jardins de l'Altwasser

    Jardins de l'Altwasser DRUSENHEIM

    Faisant le lien entre forêt rhénane préservée et centre-ville, ce parc se compose d’une collection de plusieurs jardins.

    Les Jardins de l'Altwasser accueillent les promeneurs dans un environnement plaisant, calme et éducatif. Des panneaux explicatifs permettront en effet de mieux comprendre les différents espaces du parc et les plantes qui y sont présentées.

    L'Altwasser, qui signifie littéralement "vieille eau", est situé sur un ancien bras mort du Kreuzrhein. Ce parc de 6 hectares a été crée en 2007 et lie la forêt rhénane et sauvage et le centre-ville. Un espace agréable, planté d'arbres et de plantes variés, où l'eau - qui a donné son nom au lieu - est présente, tel est l'esprit de cet endroit. Une aire de jeux accueille les plus jeunes. Depuis 2013, les Jardins de l’Altwasser font partie du Club des Parcs et Jardins de caractère d’Alsace.


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    Pensée du jour:

    Balade en forêt de Haguenau

     

    La Forêt de Haguenau est une immense forêt alsacienne: elle s’étale sur plus de 13 000 hectares! La quasi-totalité de sa surface est classée zone Natura 2000, ce qui signifie une protection particulière de la biodiversité existante.


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  • Bonne semaine à vous !

    Pensée du jour:

    Les ginkgos biloba de Strasbourg

    Sur la Place de la République s'élèvent des Gingko biloba, présents de l'empereur du Japon à Guillaume II. Ces arbres ont donc été plantés entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle.

    Les arbres aux 40 écus sont de beaux spécimens présentant des circonférences de tronc de plus de 470cm.

    Caractéristiques de l’essence

    L’Arbre aux quarante écus (ou aux mille écus) est la seule espèce actuelle de la famille des  Ginkgophytes. Sept autres espèces fossiles sont connues. Cette espèce est la plus ancienne espèce d’arbre connue. Elle serait apparue il y a plus de 270 millions d’années, soit avant les dinosaures.  L’arbre aux 40 écus a été découvert en 1690 au Japon par le botaniste allemand Engelberg Kaempfer. Cette essence est originaire du sud-est de la Chine.

    Considéré comme protecteur pour conjurer le feu, il a été planté auprès des pagodes dans les jardins sacrés des temples. Il a  été introduit en Europe au XVIIIème siècle, dans un premier temps aux Pays-Bas en 1727 puis en  Angleterre. Un riche amateur de Montpellier a acquis un pied en 1788 pour la somme astronomique de 40 écus, d’où son nom.


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  • Pensée du jour:

    Flâneries d'automne à strasbourg

    Place Kléber

    La Petite France

    Au parc de l'Orangerie

    Place de la République

    Le pont des Vosges

    Parc de la Citadelle

    Parc des Contades

     


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  • Pensée du jour:

    Musée de la Laub à Bischwiller

    Le musée de l'image populaire, unique en Europe, se situe au cœur d'une région qui, depuis le milieu du XVIIIe siècle, n'a cessé d'enrichir le patrimoine alsacien en images populaires peintes à la main.

    Le musée de l'Image populaire se situe sur la commune de Pfaffenhoffen, dans le département du Bas-Rhin. Le musée, dans un édifice Renaissance audacieusement rénové en 1999, présente l'art populaire traditionnel et contemporain à travers des collections de l'image populaire alsacienne peinte à la main, (peinture sous verre, canivets, églomisés, souhaits de baptême, souvenirs de mariage, souvenirs de conscription et de régiment, textes funéraires).

     

     

    François Xavier. Peinture sous verre,
    Ste Barbe. Canivet et aquarelle sur vélin, 2e moitié du XVIIIe s.

                                                                      

     

    Image d'amour pour Anna Krieger. Calligraphie et aquarelle de Jacques Dut

     

    Souhait de baptême. Calligraphie et aquarelle sur papier vergé de l'atelier de Hunspach, vers 1803.

     

     

     

     

     


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  • Pensée du jour:

    La porte des chevaliers

    La porte des Chevaliers est un monument historique situé à Haguenau, dans le département français du Bas-Rhin.

    L'édifice fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1930. Tour-porte construite vers 1235 elle servit de poudrière, puis à partir de 1763, de prison. Les cachots de l’époque sont conservés aux étages. La maison accolée fut construite en 1763 comme prison et donnait accès aux cachots de la tour. Toutes les deux ont servi de prison cantonale jusqu'à la Première Guerre mondiale. Avant 1920, date de sa transformation en logements, elle comportait au rez-de-chaussée les logements des gardiens et un porche.

    La tour est composée d'un plan carré en briques avec passage transversal vouté en berceau brisé. L’étage était occupé par des cellules éclairées par d’étroites petites baies grillagées, haut placées. Les cachots de l’époque sont ajourés d’archères, d’étroites baies rectangulaires et d’ouvertures en arc brisé percés à cru.

     


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  • Les maisons des rochers

    Pensée du jour:

    Les maisons des rochers

    Les maisons des Rochers se situe dans le hameau de Graufthal, sur la commune de Eschbourg, dans le département du Bas-Rhin. Il s'agit de trois habitations des rochers semi-troglodytiques habitées jusqu'en 1958, restaurées et aménagées par du mobilier et une mise en ambiance autour des légendes qui lui sont liées. Elle fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 20 décembre 1988.

    Aujourd'hui, elles sont entretenues par une association dédiée à leur mise en valeur, et sont visitables.

    Selon les archéologues Robert Forrer et Charles Spindler, qui ont fouillé les lieux en 1899, les premières grottes ont été aménagées dans les rochers de Graufthal au Moyen Âge. Elles étaient alors délimitées par de simples poteaux de bois plantés dans le sol, et dont les trous ont subsisté plusieurs siècles. Elles servaient de grenier, avant d'être transformées en logements de fortune au XVIIe siècle puis en maisons d'habitation au XVIIIe siècle. L'une des portes des actuelles maisons troglodytes est datée de 1760.

    Les maisons ont accueilli trois familles au XXe siècle : la famille Weber, la famille Wagner et la famille Ottermann. La famille Wagner fut la première à quitter les lieux après le décès de Joséphine Wagner. Le premier étage de la famille Weber s'écroula en 1931 et sa propriétaire mourut peu de temps après. Les deux sœurs Ottermann, Madeleine et Catherine, restèrent. Madeleine mourut en 1947, à 89 ans, et Catherine, dite « Felsekaeth », soit “Cathy des rochers” en dialecte alsacien, fut la dernière habitante des maisons troglodytes jusqu'à sa mort en 1958. Elle racontait aux touristes que sa maison avait hébergé jusqu’à dix-huit occupants en même temps, la cuisine étant commune à deux habitations.

    Le village de Graufthal et ses maisons troglodytes

    Chambre de Catherine Ottermann

    Stub (pièce à vivre) de la famille Weber.

    Les deux sœurs Ottermann Madeleine (1858-1949) et Catherine (1874-1958)

     Leur cuisine. Au-dessus de leur visage, on distingue Tante Magd et Tante Käth.


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  • Balade à la montagne des singes

    Pensée du jour:

    Balade à la montagne des singes

    Le parc de la Montagne des Singes accueille plus de 200 singes appelés aussi "Magots" qui vivent normalement dans les montagnes du Maroc et de l’Algérie.
    Ils savent combattre le froid rigoureux des montagnes pendant l’hiver. Le corps de cet animal est adapté au rude climat de la période hivernale, mais il sait aussi apprécier la douceur du printemps et la chaleur de l’été en Alsace.
    Ces singes ou macaques de Barbarie très attachants, vivent à présent dans ce parc en Alsace.

    L’univers fascinant de plus de 240 macaques de Barbarie en liberté dansune forêt de 24 ha, à Kintzheim dans le Bas-Rhin.

    Balade à la montagne des singesBalade à la montagne des singes

    Balade à la montagne des singesBalade à la montagne des singes

    Balade à la montagne des singes

     

    Balade à la montagne des singes

    Balade à la montagne des singes

    Balade à la montagne des singes


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  • Je reviens samedi, je vais aider Lionel mon fils pour la rentrée de Salomé dans sa nouvelle école à Soufflenheim grande section de maternelle.

    Son papa a obtenu la garde de Salomé, c'est donc une nouvelle vie qui commence pour elle et pour lui, meilleure, c'est certain,  que celle qu'elle a vécu jusqu’à présent !

    Sa future école


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  • Pensée du jour:

    Promenade au parc animalier

    Avec Lionel, Émilie et Salomé

    Au cœur de la zone de loisirs du Girlenhirsch, aux bordures de l’Ill, le parc animalier Friedel compose un ensemble unique dans l’agglomération strasbourgeoise. Sur une superficie de plus de 2 hectares, le parc animalier permet aux promeneurs un contact direct avec une grande variété d’animaux domestiques.

    Animaux de la ferme et de la basse cour, espèces aquatiques ou d’origines plus lointaines, le parc offre un site privilégié de découvertes et d’observation. Dédié à un public de tout âge, il facilite pour les plus jeunes le contact avec la découverte du monde animal.

    Au sein d’un parc ombragé par une impressionnante variété d’arbres, le public sillonne sur des chemins très agréables au milieu des habitants des lieux. Une passerelle permet de rejoindre l’étang. De nombreux bancs s’offrent aux promeneurs désirant faire une halte.

    Promenade au parc animalier

    Promenade au parc animalierPromenade au parc animalier

    Promenade au parc animalierPromenade au parc animalier

    Promenade au parc animalierPromenade au parc animalier

    Promenade au parc animalierPromenade au parc animalier

    Promenade au parc animalierPromenade au parc animalier

    Promenade au parc animalier


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