• Pensée du jour:

    Flâneries d'automne à strasbourg

    Place Kléber

    La Petite France

    Au parc de l'Orangerie

    Place de la République

    Le pont des Vosges

    Parc de la Citadelle

    Parc des Contades

     


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  • Pensée du jour:

    Musée de la Laub à Bischwiller

    Le musée de l'image populaire, unique en Europe, se situe au cœur d'une région qui, depuis le milieu du XVIIIe siècle, n'a cessé d'enrichir le patrimoine alsacien en images populaires peintes à la main.

    Le musée de l'Image populaire se situe sur la commune de Pfaffenhoffen, dans le département du Bas-Rhin. Le musée, dans un édifice Renaissance audacieusement rénové en 1999, présente l'art populaire traditionnel et contemporain à travers des collections de l'image populaire alsacienne peinte à la main, (peinture sous verre, canivets, églomisés, souhaits de baptême, souvenirs de mariage, souvenirs de conscription et de régiment, textes funéraires).

     

     

    François Xavier. Peinture sous verre,
    Ste Barbe. Canivet et aquarelle sur vélin, 2e moitié du XVIIIe s.

                                                                      

     

    Image d'amour pour Anna Krieger. Calligraphie et aquarelle de Jacques Dut

     

    Souhait de baptême. Calligraphie et aquarelle sur papier vergé de l'atelier de Hunspach, vers 1803.

     

     

     

     

     


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  • Pensée du jour:

    La porte des chevaliers

    La porte des Chevaliers est un monument historique situé à Haguenau, dans le département français du Bas-Rhin.

    L'édifice fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1930. Tour-porte construite vers 1235 elle servit de poudrière, puis à partir de 1763, de prison. Les cachots de l’époque sont conservés aux étages. La maison accolée fut construite en 1763 comme prison et donnait accès aux cachots de la tour. Toutes les deux ont servi de prison cantonale jusqu'à la Première Guerre mondiale. Avant 1920, date de sa transformation en logements, elle comportait au rez-de-chaussée les logements des gardiens et un porche.

    La tour est composée d'un plan carré en briques avec passage transversal vouté en berceau brisé. L’étage était occupé par des cellules éclairées par d’étroites petites baies grillagées, haut placées. Les cachots de l’époque sont ajourés d’archères, d’étroites baies rectangulaires et d’ouvertures en arc brisé percés à cru.

     


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  • Les maisons des rochers

    Pensée du jour:

    Les maisons des rochers

    Les maisons des Rochers se situe dans le hameau de Graufthal, sur la commune de Eschbourg, dans le département du Bas-Rhin. Il s'agit de trois habitations des rochers semi-troglodytiques habitées jusqu'en 1958, restaurées et aménagées par du mobilier et une mise en ambiance autour des légendes qui lui sont liées. Elle fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 20 décembre 1988.

    Aujourd'hui, elles sont entretenues par une association dédiée à leur mise en valeur, et sont visitables.

    Selon les archéologues Robert Forrer et Charles Spindler, qui ont fouillé les lieux en 1899, les premières grottes ont été aménagées dans les rochers de Graufthal au Moyen Âge. Elles étaient alors délimitées par de simples poteaux de bois plantés dans le sol, et dont les trous ont subsisté plusieurs siècles. Elles servaient de grenier, avant d'être transformées en logements de fortune au XVIIe siècle puis en maisons d'habitation au XVIIIe siècle. L'une des portes des actuelles maisons troglodytes est datée de 1760.

    Les maisons ont accueilli trois familles au XXe siècle : la famille Weber, la famille Wagner et la famille Ottermann. La famille Wagner fut la première à quitter les lieux après le décès de Joséphine Wagner. Le premier étage de la famille Weber s'écroula en 1931 et sa propriétaire mourut peu de temps après. Les deux sœurs Ottermann, Madeleine et Catherine, restèrent. Madeleine mourut en 1947, à 89 ans, et Catherine, dite « Felsekaeth », soit “Cathy des rochers” en dialecte alsacien, fut la dernière habitante des maisons troglodytes jusqu'à sa mort en 1958. Elle racontait aux touristes que sa maison avait hébergé jusqu’à dix-huit occupants en même temps, la cuisine étant commune à deux habitations.

    Le village de Graufthal et ses maisons troglodytes

    Chambre de Catherine Ottermann

    Stub (pièce à vivre) de la famille Weber.

    Les deux sœurs Ottermann Madeleine (1858-1949) et Catherine (1874-1958)

     Leur cuisine. Au-dessus de leur visage, on distingue Tante Magd et Tante Käth.


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  • Balade à la montagne des singes

    Pensée du jour:

    Balade à la montagne des singes

    Le parc de la Montagne des Singes accueille plus de 200 singes appelés aussi "Magots" qui vivent normalement dans les montagnes du Maroc et de l’Algérie.
    Ils savent combattre le froid rigoureux des montagnes pendant l’hiver. Le corps de cet animal est adapté au rude climat de la période hivernale, mais il sait aussi apprécier la douceur du printemps et la chaleur de l’été en Alsace.
    Ces singes ou macaques de Barbarie très attachants, vivent à présent dans ce parc en Alsace.

    L’univers fascinant de plus de 240 macaques de Barbarie en liberté dansune forêt de 24 ha, à Kintzheim dans le Bas-Rhin.

    Balade à la montagne des singesBalade à la montagne des singes

    Balade à la montagne des singesBalade à la montagne des singes

    Balade à la montagne des singes

     

    Balade à la montagne des singes

    Balade à la montagne des singes

    Balade à la montagne des singes


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  • Je reviens samedi, je vais aider Lionel mon fils pour la rentrée de Salomé dans sa nouvelle école à Soufflenheim grande section de maternelle.

    Son papa a obtenu la garde de Salomé, c'est donc une nouvelle vie qui commence pour elle et pour lui, meilleure, c'est certain,  que celle qu'elle a vécu jusqu’à présent !

    Sa future école


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  • Pensée du jour:

    Promenade au parc animalier

    Avec Lionel, Émilie et Salomé

    Au cœur de la zone de loisirs du Girlenhirsch, aux bordures de l’Ill, le parc animalier Friedel compose un ensemble unique dans l’agglomération strasbourgeoise. Sur une superficie de plus de 2 hectares, le parc animalier permet aux promeneurs un contact direct avec une grande variété d’animaux domestiques.

    Animaux de la ferme et de la basse cour, espèces aquatiques ou d’origines plus lointaines, le parc offre un site privilégié de découvertes et d’observation. Dédié à un public de tout âge, il facilite pour les plus jeunes le contact avec la découverte du monde animal.

    Au sein d’un parc ombragé par une impressionnante variété d’arbres, le public sillonne sur des chemins très agréables au milieu des habitants des lieux. Une passerelle permet de rejoindre l’étang. De nombreux bancs s’offrent aux promeneurs désirant faire une halte.

    Promenade au parc animalier

    Promenade au parc animalierPromenade au parc animalier

    Promenade au parc animalierPromenade au parc animalier

    Promenade au parc animalierPromenade au parc animalier

    Promenade au parc animalierPromenade au parc animalier

    Promenade au parc animalierPromenade au parc animalier

    Promenade au parc animalier


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  • 15 août !


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  • Pensée du jour:

    Jardin Alpestre de la Grotte Saint-Vit

    Jardin Alpestre de la Grotte Saint-Vit à Saverne en Alsace (Bas Rhin)

    Situé sur un promontoire rocheux, le Jardin Alpestre de la Grotte Saint-Vit se compose de plates-bandes florales disposées en terrasses, entretenues par les membres de l'association "Les Amis de la Grotte Saint-Vit".

    Il offre aux visiteurs une vue imprenable sur la plaine d'Alsace et les ruines du Château du Haut-Barr et du Château de Grand Geroldseck.

    En contrebas, une grotte aménagée en chapelle, dans laquelle un autel en pierre est érigé en l'honneur de Saint-Vit, font de ce cadre naturel une halte idéale pour les personnes en quête de calme et de sérénité.

    Une belle balade au calme et au grand air !


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  • Et belle semaine à tous !

    Pensée du jour:

    Le Château des Rohan et l'Affaire du Collier !

    Le Château des Rohan et l'Affaire du Collier ! 
    Situé au cœur de la ville de Saverne, le majestueux Château des Rohan fût construit à la fin du XVIIIème siècle.
     
    Son propriétaire le Cardinal de Rohan en fit un palais somptueux...
    Mais il ne put jamais profiter de son palais, étant entrainé dans l'Affaire du Collier qui le contraignit à terminer sa vie en exil.
    Jusqu'au Second Empire il fut délaissé et c'est Napoléon III, qui le fit achever...
    En 1871 le château fut transformé en caserne allemande, puis française en 1918.
    En 1952, l'édifice devient une institution municipale culturelle.
    Haut lieu culturel avec l’Espace Rohan et le musée Louise Weiss, il abrite aujourd'hui une auberge de jeunesse et une école primaire.
    Son magnifique parc accueille aujourd'hui de nombreuses manifestations culturelles...
     
    (L'affaire du collier est une escroquerie qui eut pour victime en 1785, le cardinal de Rohan, évêque de Strasbourg et qui éclaboussa la réputation de la reine Marie-Antoinette.
    Des escrocs de haut vol persuadent alors le Prince-Cardinal Louis de Rohan qu'il obtiendrait les faveurs de la reine en l'aidant à acheter le collier en secret.
    S'étant fait livrer le collier par les joailliers, le naïf prélat le confie aux escrocs en pensant qu'ils le remettraient de sa part à la reine.
    Mais les escrocs revendent aussitôt les diamants à l'étranger.
    Il reste de cette incroyable escroquerie un superbe roman d'Alexandre Dumas: Le collier de la reine.) 
     
    Le Château des Rohan, surnommé « Le Petit Versailles Alsacien », est situé au centre-ville de Saverne, le long du Canal de la Marne au Rhin. 
     
     
       

     

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