• Bon mercredi !

    Ma citation du jour:

    Mon poème

      

    A toutes mes amies et amis !

    Alors qu'ici, la nuit est tombée,

    Mes pensées vers toi...s'envolent !

    Il brille dans le ciel, une étoile,

    Elle est messagère de mon amitié !

     

    La vois-tu, dis moi ?

     

    Belle et lumineuse amie,

    Entends ce doux murmure,

    Léger, de la brise qui te dit,

    Là bas, ton amie pense à toi,

    Et de sa plume te l'écrit avec joie !

     

    L'entends-tu, dis moi ?

    Michelle


    14 commentaires
  •  

    Ma pensée du jour:

    Ma participation à "Mardi poésie" chez Lady Marianne: http://www.ma-chienne-de-vie.com/ 

    Maurice Carème

    Maurice Carême, né le 12 mai 1899 à Wavre et mort le 13 janvier 1978 à Anderlecht, est un écrivain et poète belge de langue française.

    Élu « Prince en poésie» au Café Procope à Paris en 1972 - une plaque commémorative apposée sur la façade le rappelle, Carême a vu son œuvre traduite dans de nombreuses langues. Par un aspect de son œuvre, il est très apprécié pour son amour des enfants, un registre essentiel de son œuvre (un quart de son œuvre environ). Mais il est aussi un poète de la grandeur et de la misère de l'homme. Récompensée par de nombreux prix littéraires, illustrée par de grands artistes, son œuvre joint à la simplicité de la forme l'expression d'une joie de vivre qui n'exclut pas une certaine gravité. Il a aussi traduit en français des poètes néerlandophones.

    L'écolière

    Bon Dieu ! que de choses à faire !
    Enlève tes souliers crottés,
    Pends donc ton écharpe au vestiaire,
    Lave tes mains pour le goûter,

    Revois tes règles de grammaire.
    Ton problème, est-il résolu ?
    Et la carte de l'Angleterre,
    Dis, quand la dessineras-tu ?

    Aurai-je le temps de bercer
    Un tout petit peu ma poupée,
    De rêver, assise par terre,
    Devant mes châteaux de nuées ?
    Bon Dieu ! que de choses à faire !


    15 commentaires
  • Recette d'Alsace

    Ma citation du jour:

    Recette d'Alsace

    Une petite entrée alsacienne

    Baguette flambée

    Ingrédients: (pour 3 1/2 baguettes)

    - 3 demis baguettes
    - 400g de fromage blanc
    - 100g de crème fraîche épaisse
    - sel, poivre, muscade
    - des oignons
    - des lardons
    - du gruyère râpé

    Recette
    Préchauffer le four à 200°.
    Ouvrir les baguettes en 2.
    Émincer les oignons en rondelles.
    Mélanger la crème avec le fromage blanc, assaisonner.
    Faire griller les lardons à la poêle.
    Tartiner généreusement les baguettes du mélange au fromage blanc
    Répartir les oignons, les lardons, recouvrir certaines de gruyère.
    Enfourner 10min environ.


    12 commentaires
  •  Musique: Gemme 

     Nolwenn Leroy - Gemme

     


    5 commentaires
  • Ma citation du jour:

    My Wife's lovers (Les amants de ma femme)

    Une toile de l'artiste autrichien Carl Kahler (1855-1906)

    Mrs. Johnson, une riche aristocrate américaine de la fin du XIXe siècle, aimait les chats. Les adorait. Nous pourrions même dire, leur vouait un culte. À tel point qu’elle en élevait chez elle… environ 350. Vous avez bien lu. Chacun avait son propre nom, et chaque boule de poils répondait à l’appel de son nom. Et pour prendre soin de son armada de minets, un véritable de cortège de domestiques était employé par la maison Johnson, exclusivement dédiée aux animaux : nourriture, toilettage, caresses…

    Rien n’était trop beau pour ces centaines de félins, à tel point qu’en 1891, la millionnaire Kate Johnson passa commande à un peintre autrichien très en vue de l’époque, Carl Kahler, d’une toile monumentale qui rendrait hommage à 42 de ses chats préférés, majoritairement des angoras et des persans. La peinture est à la hauteur de l’amour de Mrs. Johnson pour les bêtes…

    Et si vous observez l’œuvre d’un œil attentif, vous constaterez que chaque chat a une expression différente, suivant le désir de l’excentrique millionnaire qui voulait que chacun de ses matous, qu’elle considérait comme unique, ait sa propre personnalité.

    C'est le mari fortuné qui aurait inspiré le titre plein d'humour du tableau, Les Amants de ma femme (My Wife's Lovers)

    En 1906, un tremblement de terre ravage le bâtiment dans lequel le tableau est exposé. Miraculeusement, la peinture en sort indemne. A croire qu'elle possèderait, comme les chats, plusieurs vies !

    Carl Kahler, My wife’s lovers, 1891.


    11 commentaires