• Bon jeudi !

    Ma citation du jour:

    Saint Hippolyte dans le Haut Rhin

    Saint-Hippolyte est une jolie commune située dans le Haut-Rhin, cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

    Saint-Hippolyte est placé au pied des Vosges. La commune domine à l’arrière sur un cône élancé, le château du Haut-Koenigsbourg  et au milieu on trouve de riches vignobles qui ont fait la réputation du village. Saint-Hippolyte est une agglomération ancienne enserrée dans une enceinte rectangulaire assez bien conservée et traversée par trois rues parallèles recoupant une rue transversale présentant des bâtis très denses où les maisons à colombages sont séparées par des venelles. L’église construite sur une terrasse de forme ovale occupe le centre de ce village. À côté on trouve la mairie, et en contrebas l’école datant de la fin du XIXe siècle. Saint Hippolyte se trouve aussi au pied du majestueux château du Haut-Koenigsbourg  que l'on aperçoit dès l'entrée du village. En quittant le vieux bourg, en prenant la route qui mène au Haut-Koenigsbourg on entre dans le riche vignoble entouré de collines.De chaque côté de cette route qui monte vers la montagne et vers la plaine, Saint-Hippolyte est entouré de vignes dont les produits furent de tout temps fort appréciés des connaisseurs et entre autres des ducs de Lorraine.

    C'est une des 188 communes du Parc naturel régional des ballons des Vosges.

    Village de Saint-Hippolyte et au fond le château du Haut-Koenigsbourg

    Saint-Hippolyte, la maison bleue.

    Église de Saint-Hippolyte au milieu du village

    Maisons à colombages à Saint-Hippolyte sur la route des vins

    Ancienne ferme vigneronne du XVIe siècle à Saint-Hippolyte


    Les vignes à la sortie de Saint-Hippolyte et au loin le château du Haut-Koenigsbourg

    Église Saint-Hippolyte.

    Statue de saint Hippolyte du XVIIIe siècle installée à l'intérieur de l'église

    Châsse contenant les reliques de saint Hippolyte datée de 1766 exposée devant le chœur de l'église


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  • Bon mercredi, bisous !

    Ma citation du jour:

    Mon poème

    C'est bientôt la rentrée des classes , ce poème en est inspiré.

                       Souvenirs !                             

     Ma belle école du temps passé,

    Souvenirs heureux, jamais oubliés !

    La plume sergent major qui a guidée 

    Mes mots sur les pages des cahiers,

    Les buvards roses étaient mes préférés,

    Le tableau noir où dansaient les craies !

    Et la maîtresse toujours attentionnée

    A qui j'offrais des fleurs avec fierté.

    Dans la cour, pendant la récré,

    On nous servait du lait avec le goûter !

                                                                        

    Les filles jouaient à la corde à sauter,

    Et les garçons à la balle au prisonnier.  

    On étaient fiers dans nos tabliers bien repassés !

    Quand venait la fin de l'année,

                                       Devant nos parents, émotionnés                                     

    Un spectacle par nous était donné,

    Et la photo faite, était précieusement rangée, 

    Dans cet album que j'ai toujours conservé !

    Michelle

     


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  • Un poème et son auteur

    Ma citation du jour:

    Un poème et son auteur

    Ma participation à "Mardi poésie" chez Lady Marianne: http://www.ma-chienne-de-vie.com/ 

    Élisa Mercœur

    Élisa Mercœur, née vraisemblablement à St Sébastieb-sur-Loire le 24 juin 1809 et morte à Paris le 7 janvier 1835 est une poétesse française, elle a été abandonnée à la naissance et, si le prénom d’Élisa lui vient de ses parents, le nom de Mercœur lui a été donné par un commissaire de police de Nantes.

    Le 27 juin 1809 à 22 heures, un bébé est recueilli à la porte de l’hospice des orphelins à Nantes, par un employé de l’hospice, Jean Favret. L’enfant est porteur d’un papier avec ces mots :

    « Élisa, née le 24 juin 1809, non enregistrée aux actes civils. Le ciel et la douce humanité veilleront sur elle. Ses parents seront peut-être assez heureux pour pouvoir la réclamer un jour. »

    Elle fut recueillie et élevée par sa mère adoptive, appartenant à la bourgeoisie. Elle eut la chance de pouvoir côtoyer toute la bonne société nantaise.

    Elle eut des vélleïtés d’écriture théâtrale et écrivit une tragédie, Boabdil, qui fut présentée au comité de lecture de la Comédie Française en 1831, hélas, trois fois hélas, sur le conseil du baron Taylor son œuvre sur qui elle misait tout fut refusée. Elle fut piquée au cœur par ce refus qui anéantissait tous ses espoirs de gloire et de fortune, elle tomba malade, dépérit à vue d’œil et fini par rendre le dernier soupir dans les bras de sa mère le 7 janvier 1835, elle avait 25 ans.

    La feuille flétrie

    Pourquoi tomber déjà, feuille jaune et flétrie ?
    J'aimais ton doux aspect dans ce triste vallon.
    Un printemps, un été furent toute ta vie,
    Et tu vas sommeiller sur le pâle gazon.

    Pauvre feuille ! il n'est plus, le temps où ta verdure
    Ombrageait le rameau dépouillé maintenant.
    Si fraîche au mois de mai, faut-il que la froidure
    Te laisse à peine encore un incertain moment !

    L'hiver, saison des nuits, s'avance et décolore
    Ce qui servait d'asile aux habitants des cieux.
    Tu meurs ! un vent du soir vient t'embrasser encore,
    Mais ces baisers glacés pour toi sont des adieux


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  • C'est ma douce et jolie petite fille elle a 9 ans aujourd'hui !


    Je t'aime, bisous !


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  • Ma citation du jour:

    Florent Pagny - Le présent d'abord


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