• De belles bûches de Noel

    Pensée du jour:

    Les couleurs de Noël - mamykool

    Nos Bûches de Noël Wittenheim 0

    Noël en Alsace

    Biscuit Joconde accompagné d’une couche croustillante de spéculoos et noisettes, suivi d’une compotée de pommes d’Alsace et d’un crémeux caramel au beurre salé. Le tout enveloppé d’une mousse parfumée à la cannelle et vanille.

    Nos Bûches de Noël Guebwiller 1

    Belle étoile

    Biscuit amande au sucre moscovado, croustillant au sésame noir, accompagné d’une mousse au chocolat au lait caramel. Le tout agrémenté d’une gelée d’ananas frais, d’un crémeux exotique et de morceaux de mangue sublimé d’une ganache montée exotique.

    Nos Bûches de Noël Wittelsheim 4

    La privilège

    Traineau

    Biscuit Joconde à la châtaigne accompagné d’un croustillant amandes, praliné et citron vert, et d’une gelée parfumée à la bergamote. Mousse et crémeux au marron, agrémentés de brisures de marrons confits. Le tout décoré à base de fils de marrons.

    Nos Bûches de Noël Saint-Louis 3

    Sapin

    Pain de Gênes amandes, agrémenté d’un crumble au citron, d’un crémeux cheesecake au citron vert et d’une délicate gelée de fruits rouges. Le tout est enveloppé dans une mousse légère à la framboise et décoré avec une mousse à la vanille.

     

    [cabosse] Maître Pâtissier/Chocolatier Mulhouse

    BARRES DE SEPARATION NOEL -


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  • De belles images

    Pensée du jour:

    12 citations inspirantes sur l'esprit de Noël – Façonner sa vie

    De belles images

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    Images pour Facebook: Barres de séparation de Noël animées et scintillantes


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  • Bon Jeudi - Père-Noël - Sapin - Décorations - Ourson - Gif scintillant -  Gratuit - Le Monde des Gifs

     

    Pensée du jour:

    Lettre au Père Noël. - ppt télécharger

    Il était une fois… toutes les histoires commencent toujours par «il était une fois»… un petit garçon prénommé Jean.

    Il y a quelques années ou décennies, peu importe, le pasteur d’un village de montagne l’avait trouvé, bien emmailloté dans une bonne couverture, près du poêle dans l’église, posé sur un banc. Il avait à peine quelques jours. Le pasteur fut quelque peu surpris par ce cadeau tombé du ciel, mais il se dit: «on verra bien!»

    En attendant, il le confia à la vieille Marie, sa gouvernante, et comme jamais personne ne vint le réclamer, l’enfant resta auprès de cette famille choisie pour lui.

    On l’appela Jean de Guérin. Jean, car c’était le jour de la Saint-Jean que le pasteur le découvrit, et comme cela ne suffisait pas, on y ajouta le nom du village.$

    Bien qu’orphelin, il était pleinement heureux. Il avait autant de mamans et de papas que le village comptait de femmes et d’hommes et tous les enfants le considéraient comme leur frère.

    Depuis tout petit, il adorait se rendre chez le grand-père. Il habitait un peu à l’écart du village, dans une petite maison, vivant modestement tout en fabriquant de merveilleux objets issus de simples bouts de bois. Mais sa vraie vie, le grand-père la vivait la nuit, quand le ciel était dégagé et brillait de mille feux. Il se perdait alors dans les étoiles!

    Il les connaissait toutes. Toutes avaient un nom. Et le petit Jean ne se lassait jamais d’écouter leurs histoires magiques. Il passait ainsi des heures aux côtés du grand-père à scruter les secrets du ciel.

    Mais bientôt, ce sera Noël, et la plus belle des étoiles, celle du berger, dominera toutes les autres …

    La veille de la nuit tant attendue, comme à son habitude, Jean se rendit chez son grand ami et le trouva assis dans son fauteuil, mais tournant le dos à la fenêtre.

    – Et bien, grand-père, que se passe-t-il, vous êtes malade ?

    – Non mon garçon, ce sont mes yeux. Ils sont trop vieux, trop usés. Ils ne voient pas plus loin que le fond du jardin.

    Jamais plus, je ne verrai les étoiles. Heureusement, il me reste ma mémoire et toi, tu seras toujours là pour me les raconter.

    – Bien sûr, grand-père, que je serai là, ne vous inquiétez pas!

    Il s’assura que le grand-père ne manquait de rien, lui mit une couverture sur ses vieux genoux et sortit dans la nuit.

    Il se dirigea vers l’église, y entra et vit le sapin décoré. Tout en haut, on avait fixé l’étoile, celle que l’on ressortait tous les ans, belle, grande, recouverte d’or fin.

    Il pensa: si le grand-père ne peut plus voir les étoiles dans le ciel, il pourra voir celle-là!

    Mais comment faire? Le sapin est bien trop haut ! Il prit un banc, y posa une chaise… encore un autre siège… il manquait encore un petit bout. Peut-être qu’avec la Bible… il se sentit un peu confus, mais tant pis, il prit la Bible et… grimpa. Il décrocha l’étoile avec d’infinies précautions, remit tout en ordre et, satisfait, s’en alla sans bruit.

    Il n’avait pas vu le pasteur qui, dans l’entrebâillement de la porte de la sacristie, avait suivi toute la scène. Il connaissait bien son petit, et pas une seconde il ne pensa à mal. Il savait que si Jean prenait l’étoile, ce n’était pas dans de mauvaises intentions.

    Il le suivit, et lorsqu’il vit le petit garçon suspendre l’étoile dans le sapin du jardin du grand-père, il comprit, et l’un de ses chauds sourires dont il avait le secret illumina son visage.

    Le lendemain, jour de Noël, les enfants du village s’éveillèrent plus tôt que d’habitude. Ils étaient impatients de découvrir leurs cadeaux. Celui-là recevait enfin sa voiture de pompier, la petite Jeanne berçait tendrement sa poupée, pour le petit dernier de la maison d’à côté, un joli ours en peluche… et plein d’autres encore !

    Même Jean ne fut pas oublié. Il reçut sa première montre. A dix ans, c’est normal, on devient grand, on doit connaître le temps.

    Avec ses économies, Jean avait acheté une paire de mitaines au grand-père. Il avait toujours si froid aux mains quand il taillait ses bûches. Il lui avait aussi préparé un beau dessin, avec de belles couleurs qu’il pourrait voir. Il représentait un petit garçon donnant la main à un vieux monsieur, et tous les deux regardaient le ciel et comptaient les étoiles.

    Mais il espérait surtout qu’il verrait SON étoile !

    La nuit venue, il se rendit chez le grand-père, et le trouva debout regardant par la fenêtre. A son sourire, Jean savait qu’il avait vu son étoile !

    – Merci, mon enfant, je sais que c’est toi qui l’as mise là. Mais je la reconnais, c’est celle de l’église. Que va dire le pasteur… et les gens ?

    En guise de réponse, ce fut le chant de tous les villageois qu’il entendit. Ils étaient tous là, petits et grands, jeunes et vieux.

    Le pasteur leur avait expliqué que ce soir, ce serait un Noël un peu différent. Que puisque l’étoile avait préféré le jardin du grand-père à la chaleur de l’église, on irait là où elle avait choisi d’être.

    Et c’est ainsi que cette veillée de Noël fut célébrée sous des millions d’étoiles, dans un petit jardin, à l’écart d’un village.

    Les cloches de l’église se mirent à sonner, comme pour dire qu’elles étaient d’accord.

    Ce fut le dernier Noël du grand-père, mais longtemps encore, on se rappela ce Noël un peu particulier.

    Marinette Tille

     

    Gif Etoiles 001

     

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  • Bon mercredi!!

    Pensée du jour:

    12 citations inspirantes sur l'esprit de Noël – Façonner sa vie

    Mettre / Se prendre un marron

    Après la dinde, les marrons ! Même si on adore déguster quelques marrons sautés, au four ou glacés à Noël, c’est nettement moins agréable de se prendre un marron ! « Se prendre un marron » ou « recevoir un marron » veut dire prendre un coup, généralement en pleine figure. Outch ! Le contraire existe également avec « mettre un marron » qui s’emploie pour « donner un coup à quelqu’un ». Une variante de l’expression existe avec « châtaigne » : mettre / se prendre une châtaigne. Pour aller plus loin, vous pourrez aussi entendre « se castagner » pour « se battre » ou « la castagne » pour parler d’une bagarre.

    Exemple : Astérix et Obélix mettent des marrons aux Romains.

     

    Tirer les marrons du feu

    Ah des bons marrons sautés, quel délice ! Cependant, encore une fois cette expression n’a rien de culinaire. « Tirer les marrons du feu » signifie profiter d’une situation donnée pour en retirer tous les bénéfices. C’est une expression négative car elle pointe du doigt un comportement opportuniste. Cette expression tire son origine d’une fable de Jean de La Fontaine, « Le singe et le chat », dans laquelle le félin retire du feu des marrons au profit du singe.

    Exemple : Nicolas n’a rien fait mais il s’est attribué toute la réussite de mon travail. Il a bien su tirer les marrons du feu !

     

    BARRES DE SEPARATION NOEL -

     

     


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  • Une histoire vraue de Noel

    Pensée du jour:

    Citation Noël : Les 50 plus beaux texte de Noël | Joyeux Noël

    Histoire de Noël à LAMBALLE

     

    L'impatience des enfants à l'approche de Noël est sans limite.
    Les journées sont trop longues à faire des dessins et à guetter le père Noël par la fenêtre...
    C'est ce que s'est dit Kenzo, un petit Lamballais âgé de 5 ans qui, ce dimanche matin dès potron-minet, ne tenant plus en place, quitte discrètement le domicile familial vêtu de son seul pyjama et de ses chaussons pour aller voir le père Noël. 
    Heureusement, une aide-soignante qui se rendait au travail le voit marcher au bord de la route et le récupère avant d'alerter les gendarmes.
    L'ensemble des personnels de la brigade de LAMBALLE se mobilisent alors pour faire du porte à porte.
    L'un des gendarmes rejoint directement un quartier auquel il pense en demandant à Kenzo s'il reconnaît sa maison.
    L'enfant en désigne effectivement une et retrouve ainsi sa maman qui ne s'était pas encore aperçue du départ de son fils.

    Les gendarmes ont rappelé à Kenzo que le père Noël trouvait de toute façon toutes les maisons, et lui ont conseillé de conserver ses rêves de cadeaux bien au chaud dans sa chambre en attendant le 25 décembre.

     

     

     

     

    BARRES DE SEPARATION - HIVER/NOËL 3 - VALIE CREATIONS

     


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