• Dicton du jour:

    De St-Casimir la douceur, fait peur aux jardiniers et aux laboureurs.

    Terre des ours bruns

    Avec un territoire réaménagé et une muséographie entièrement repensée, dans l’une des plus belles présentations d’ours bruns d’Europe : « Terres des Ours » !

    Du haut de plusieurs passerelles ou par des baies vitrées, de nombreux points d’observation pour découvrir 4 ours bruns, un face à face exceptionnel avec ces géants de la Nature en pénétrant dans leur Tanière.

    Les ours ne vivent encore en France que dans les Pyrénées et encore…les populations ne sont pas énormes. Au parc de Sainte Croix vous pourrez voir évoluer 4 ours brun (1 mâle et 3 femelles) dans un cadre magnifique.



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  • Dicton du jour:

    À la Sainte-Cunégonde la terre redevient féconde.

    La grande plaine des cerfs

    En immersion avec le roi de nos forêts, ici vivent en liberté plus de 150 cervidés (cerfs, biches, daims) sur plus de 54 ha. de Nature.

     


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  • Dicton du jour:

    Si mars commence en courroux, il finira tout doux, tout doux.

    L’île des lémuriens

    L’îlot est installé sur un terrain d’environ 3000 m² accessible aux visiteurs par un pont électrifié. Les lémuriens, de deux espèces différentes sont représentés par des groupes de mâles célibataires appelés « Bachelor » qui sont nécessaires pour ces espèces très représentées dans les parcs zoologiques européens. Ils ont accès à un bâtiment hors de l’île que les visiteurs pourront voir par une vitre. L’édifice et son aménagement intérieur de style africain/malgache pour une intégration parfaite dans la zone.


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  • Dicton du jour:

    Mars venteux et avril pluvieux font le mai gai et gracieux.

    Les pandas roux

    Les trois pandas sont installés dans un enclos de 520 m2 « qu’il faut aussi apprécier dans son volume car ce sont des animaux qui aiment se réfugier en hauteur, dans les arbres. » Abris perchés, passerelles, troncs couchés abondent donc sur leur territoire que le visiteur embrasse du regard depuis une passerelle. Un cadre mêlant bois et métal patiné qui se parera au fil des semaines d’éléments de décoration évoquant le Tibet. Une cascade, un ruisseau, un pierrier complètent la scénographie, car ces animaux, qui pèsent de 3 à 6 kg, « détestent par-dessus tout la chaleur et trouveront là un peu de fraîcheur en été. »

    Ces animaux vivent dans l’Himalaya. Bao, Ying Tao et Cha Hua sont toutes trois nées au printemps dernier, au zoo de Bordeaux-Pessac pour l’une d’entre elles, et au zoo de la Palmyre pour les deux autres sœurs.

     


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  • Dicton du jour:

    Quand février prend un jour, souvent de catastrophes il est lourd.

    Le parc animalier de Sainte-Croix est un parc spécialisé dans la faune européenne, situé au cœur du parc naturel régional de Lorraine à Rhodes fut créé en 1980.

    Couvrant une superficie de 120 hectares, le Parc Animalier de Sainte-Croix est un lieu de découverte de la faune européenne et de la biodiversité mondiale. Trois sentiers mènent à la rencontre de plus de 1 500 animaux issus de 100 espèces vivant en semi-liberté, notamment des cerfs, des ours, des lynx, des bisons, plusieurs meutes de loups, des lémuriens, des vautours, des pandas roux.

    Parc des loups blancs arctiques.


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  • Bon dimanche !

    Dicton du jour:

    Beau ciel à la Saint Romain, il y aura des denrées et du bon vin.

     

    Les Arbrorigènes

     A demi camouflés l’été dans l’épaisseur végétale, ces figures sont d’autant plus difficiles à apercevoir qu’elles font corps avec la nature. Leur épiderme étant végétal, de fait, ces sculptures épousent les couleurs du lieu environnant par mimétisme.

    Ernest Pignon Ernest a voulu fixer poétiquement la photosynthèse elle-même, ce processus complexe essentiel à toute vie végétale ou humaine qui transforme la lumière solaire en énergie chimique.

    Ces sculptures végétales anthropomorphes suivent dès lors le cours du temps. Le jour, les arbrorigènes produisent de l’oxygène par l’intermédiaire de la chlorophylle, à partir de microalgues déposées sur une mousse de polyuréthane qui constitue le corps charnel de chaque arbrorigène, selon un dispositif élaboré avec l’aide précieuse du scientifique Claude Gudin. La nuit, ils respirent comme n’importe quel humain en absorbant de l’oxygène et en rejetant du gaz carbonique.


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  • Dicton du jour:

    Gelée de Sainte Honorine rend toute la vallée chagrine.

     

    Ce n'est pas ici.

     Le premier objet qui frappe le regard est un moulage de son fameux fauteuil aux rondeurs maternelles créé en 1969, qui ici est en bronze.

    Une sphère en caoutchouc placée à côté du fauteuil lui est rattachée par une chaîne, tel un boulet. Un buisson d’ifs taillés constitue la représentation symbolique d’une maison. Un arbre est disposé sur le haut de ce qui semble être soit un pot de fleur d’intérieur mais à la hauteur surdimensionnée, soit le tronc artificiel de l’arbre puisque cet objet est cerclé de fer sur un placage en bois.

    L’ensemble sculpté s’inscrit alors dans un espace oscillant sans cesse entre la sphère du foyer, du privé, et la sphère publique.

    Ensemble sculpté. Matériaux divers : bronze, bois, métal, caoutchouc, végétation, par Gaetano Pesce

     


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  • Dicton du jour:

    Si février est chaud par aventure, Pâques amènera la froidure.

     

    A travers l'arbre.

    Balkenhol sculpte des individus « silencieux » : aucun éclat psychologique apparent mais une retenue intérieure permanente.

    La sculpture s’apparente à une chimère : cet homme-cerf issu d’une mythologique fantasmée, cette femme-renarde, trans-historiques puisqu’ils portent des vêtements contemporains. Les personnages combinent harmonieusement les postures issues de la tradition sculpturale et des attitudes modernes, comme cette main nonchalamment rangée dans la poche du pantalon.

     Bien que le titre puisse nous inviter dans l’intimité d’un tronc arbre, le dispositif mis en scène par l’artiste semble imposer une certaine distance, comme si nous surprenions quelques échanges auxquels nous ne sommes pas conviés. Ces figures oscillent entre divinité et humanité. Mais l’attirance prend le dessus au point de nous inviter à les rejoindre, en ayant conscience que le tronc d’arbre offre un petit chemin à parcourir.


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  • Dicton du jour:

    Si le soleil luit tôt le matin, Saint Roméo fait le bien

     

    Leur lieu

    Leur Lieu apparaît à l’œil du spectateur, devenu également promeneur pour l’occasion, comme une organisation scénique. La multiplicité des personnages donne au travail de Krauth une dimension proche de celle de la collection. C’est un micro-environnement qui s’offre aux regards. Tantôt de dos ou bien de face, à la fois loin mais tout proche, c’est l’ensemble supposé de ces petits êtres de bronze qui se révèle progressivement au regard.
    Ces petits êtres de bronze ne sont pourvus ni d’outils ni de mains, ni même de visages maquillés, contrairement aux nains courants. Le mystère naît de la simplification et de ce dépouillement. Entre l’homme et le végétale la frontière et mince, d’ailleurs ici rien n’est formellement énoncé. Constitués de deux revers en bronze de moules plaqués l’un contre l’autre, ces petits lutins apparaissent telles des silhouettes fragiles qui semblent fuir à notre présence bien qu’ils soient cependant ancrés dans le sol.


    Nous approchons avec nos pieds de géants et notre âme d’enfant pour aller à leur rencontre. L’artiste investit un espace avec ce désir de transformer le réel en lui insufflant de la magie. C’est alors que commence la confrontation, la mise en parallèle du petit et du grand, qui toujours fascine les passants. Cette œuvre s’ancre parfaitement dans la démarche artistique de Jean-Marie Krauth, consistant la plupart du temps à transfigurer un lieu ou un paysage auparavant neutres, en un espace chimérique voué à épanouir l’imaginaire des spectateurs…


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  • Dicton du jour:

    A la Saint Modeste, repique tes choux s'il en reste.

    "The Bowler"

     

    Le Centre Européen d'Actions Artistiques Contemporaines a installé dans le Parc de Pourtalès des œuvres d'art, créant un parc de sculpture contemporaine où la nature rejoint la culture, à l'image de ce qu'était ce jardin paysager autrefois.
    Durant un entretien radiophonique, Barry Flanagan déclara se souvenir avoir aperçu en février 1978 “ lors des dernières chutes de neige, un lièvre, très à l’aise, bondissant d’est en ouest sur les Sussex Downs”. Ce souvenir de lièvre, Flanagan l’a maintes fois matérialisé.
    Ici, l’artiste a créé sa sculpture de lièvre de taille “ubuesque”. Flanagan expose son goût pour l’absurde et la dérision : ce lièvre à la posture anthropomorphisée, adepte du cricket, s’apprête à lancer énergiquement une balle en direction d’un adversaire virtuel. A moins que ce lièvre n'exécute un pas de danse endiablé. Flanagan s’attache à renouveler et enrichir la tradition de représentation non objective et poétique d’animaux.

     


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