Pensée du jour:
La blonde et Victor Hugo
Un homme et sa femme, une blonde bien entendu, sortent au restaurant pour fêter leur dixième anniversaire de mariage. Alors que le serveur s’approche pour leur remettre les menus, la blonde lorgne le contenu des assiettes sur les tables voisines pour trouver l’inspiration.
Tout à coup, elle donne un petit coup de pied discret à son mari :
– Chéri, retourne-toi et regarde. Je crois que c’est Victor Hugo à la table à coté…
L’homme se retourne machinalement et répond d’un air consterné :
– Chérie, tu sais bien que Victor Hugo est mort depuis longtemps.
La blonde en proie au doute réplique :
– Tu es sûr ?
Mais quelques secondes plus tard, elle donne un autre coup de pied à son mari :
– Non, regarde… Il a bougé
bronzage intégral
Une jeune femme en vacances à l’hôtel a décidé d’aller faire un peu bronzette sur un des transats placés sur la terrasse de l’hôtel.
Le premier jour, elle porte son maillot de bain deux pièces, mais dès le lendemain, comme elle se rend compte que personne d’autre qu’elle n’utilise la terrasse de l’hôtel, elle se décide à faire du bronzage intégral.
La voilà donc qui se couche à même le sol, sur le ventre. Très peu de temps après s’être installé, elle entend quelqu’un qui monte par l’escalier en courant. Elle reste couchée et pose simplement une serviette sur son derrière.
C’est un groom qui arrive et s’adresse alors à elle :
– Je vous prie de m’excuser mademoiselle. Le directeur de l’hôtel m’envoie vous dire que vous avez tout à fait le droit de prendre des bains de soleil sur la terrasse de l’hôtel, mais qu’il serait préférable de porter votre maillot de bains comme vous le faisiez hier.
La jeune femme, un peu agacée lui répond :
– Quelle différence cela peut-il faire ? Personne ne peut me voir ici, et en plus, je me suis couvert le postérieur !
Le groom, très embarrassé lui répond :
– Eh bien, pas exactement personne… En fait, vous êtes couchée exactement au-dessus de la verrière de la salle de restaurant.
À un poste frontière, un douanier arrête une Renault 5
À un poste frontière, un douanier arrête une Renault 5, s´adressant aux occupants :
– Veuillez descendre immédiatement !
Les occupants s´exécutent, surpris, puis demandent :
– Il y a un problème, monsieur le douanier ?.
Le douanier :
– Oui ! Il y a un problème. Vous êtes quatre et c´est une Renault 5.
Il est hors de question que vous passiez la frontière si tout ne correspond pas parfaitement.
Les occupants de la Renault 5 se plaignent énergiquement et finissent par dire :
– Ecoutez, c´est ridicule. Nous aimerions nous adresser à votre supérieur.
Le douanier :
– Oh, c´est impossible, le chef a un gros problème avec les occupants d´une Fiat Uno actuellement…
Merci pour ce sourire !
Biz