• Bon vendredi !

     

    « Regarde ton chien dans les yeux et tu ne pourras pas affirmer qu’il n’a pas d’âme. » Victor Hugo

     

    On dirait que la mise en place entre ce chien et un morceau de citron n'est pas allé assez bien.


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  • Bon jeudi !

     

    Cette vidéo va vous donner envie d'adopter une chèvre.


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  • Bon mercredi !

     

    Une œuvre de la nature !

     

    Mon poème


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  • Bon mardi !

     

    Pour le tableau du samedi chez: http://www.ma-chienne-de-vie.com/

    La promenade

     

    La Promenade, aussi appelée La Femme à l'ombrelle, appartient à une série de peintures exécutées par Monet pendant les étés 1875 et 1876 et qui représentent le jardin de sa seconde maison à Argenteuil, sa femme Camille servant de modèle. Camille, vêtue de blanc et portant un chapeau voilé, est debout sur une colline, son corps légèrement déplacé par rapport au centre, mais visuellement équilibré par le parasol vert et blanc qu'elle tient. Son regard intense et la position de son corps suggèrent qu'elle ait soudainement pris conscience de la présence du spectateur et qu'elle se soit retournée en réponse, créant une illusion convaincante d'un mouvement saisi sur le vif. Derrière et à gauche de Camille apparaît la forme beaucoup plus petite de leur fils Jean, qui avait presque huit ans à l'époque,lui aussi regardant attentivement le spectateur. La ligne d'horizon basse et la position du corps contre le ciel donnent à la figure une sensation de monumentalité qui est inhabituelle dans les peintures de Monet du milieu des années 1870.


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  • Bonne semaine à vous !

     

    Mardi poésie chez Lady Marianne: http://www.ma-chienne-de-vie.com/

    Pierre de Ronsard (1524-1585)

    « Prince des poètes et poète des princes », Pierre de Ronsard est une figure majeure de la littérature poétique de la Renaissance.

    Ronsard emploie d'abord les formes de l'ode (Mignonne, allons voir si la rose) et de l'hymne, considérées comme des formes majeures, mais il utilisera de plus en plus le sonnet comme:

    Quand vous serez bien vieille…, Sonnets pour Hélène).


    Quand vous serez bien vieille, au soir à la chandelle,
    Assise auprès du feu, dévidant et filant,
    Direz chantant mes vers, en vous émerveillant :
    "Ronsard me célébrait du temps que j'étais belle."

    Lors vous n'aurez servante oyant telle nouvelle,
    Déjà sous le labeur à demi sommeillant,
    Qui au bruit de Ronsard ne s'aille réveillant,
    Bénissant votre nom de louange immortelle.

    Je serai sous la terre, et fantôme sans os
    Par les ombres myrteux je prendrai mon repos ;
    Vous serez au foyer une vieille accroupie,

    Regrettant mon amour et votre fier dédain.
    Vivez, si m'en croyez, n'attendez à demain :
    Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie.


    Prendre conscience du temps qui conduit à évoquer la vieillesse, c'est ce que fait Ronsard dans ce sonnet adressé à Hélène. Si elle se reconnaît dans l'image cruelle d'une jeune femme nostalgique, elle comprendra qu'il faut profiter du présent. La vie humaine est aussi brève que celle des roses.

     
     

       
       

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